Le retour est toujours un détour
Les voix sont enfouies sous le vacarme des voitures, le vrombissement des motos et les explosions de toutes sortes. Elles sont enfouies sous la voix de l’actuelle cité, si tant est qu’on puisse appeler « voix » les bruits qui montent d’une ville.
D’après L’ultime humiliation, Rhéa Galanaki
Publié le 3 mars 2020