Du dérisoire vers la beauté
« C’est avec ses insuffisances qu’elle travaille. Elle part toujours du dérisoire et elle nous hisse vers la beauté à laquelle on tend tous. Rien n’est dû au hasard. Si elle aime les cages à oiseaux c’est parce qu’elles disent tout ce à quoi elle tient : l’enfermement qui est le nôtre et l’envie de s’en échapper ».
Julie Birmant à propos de Yolande Moreau
Publié le 10 mars 2017